Le pitch ? Un Lusitanien nommé Mavubès est accusé d’avoir voulu empoisonner César. Et évidemment, nos deux moustachus préférés prennent la mer pour lui sauver la mise.
Mais la vraie surprise, ce n’est pas le scénario… c’est la campagne de com’ derrière l’album.
Les Éditions Albert René se sont associées aux aéroports de Paris. Orly devient « Paris-Orlyx », avec un visuel officiel des Gaulois devant le hall 4, et un banquet géant pour fêter les 80 ans du groupe ADP.
Cerise sur le menhir : tous les magasins Relay mettent en avant l’album. De quoi faire voyager Astérix… encore plus loin que d’habitude !
Céleste Surugue, directeur général des Éditions Albert René, le dit lui-même : « Astérix, c’est patrimonial, c’est une communion. » Pas étonnant que les chiffres suivent : près d’un million d’albums vendus en 2024, contre 660 000 en 2012. Les Gaulois vieillissent plutôt bien !
Et pourquoi le Portugal, alors ?
Parce que le pays vit et respire le tourisme ! Avec 3,8 millions de visiteurs rien qu’en août 2025 et plus de 11,9 % du PIB générés par le secteur, la destination est plus populaire que jamais.
Pour la sortie de cet album, tout le pays se met à l’heure gauloise : festivals, fêtes de villages et événements spéciaux s’enchaînent pour célébrer l’arrivée du duo mythique.
Même le magazine GEO s’y met, avec un hors-série consacré au “Portugal romain”, clin d’œil parfait à l’univers d’Astérix.
Astérix n’est peut-être pas un guide touristique selon René Goscinny, mais aujourd’hui, il fait voyager… et ça, on adore.









